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6 octobre 2018 6 06 /10 /octobre /2018 15:19

          Naturellement, Google se déploie ce matin avec arrogance. Hier - sans doute vous êtes-vous alarmés, mes belins-belines, de n'avoir reçu de toute la journée aucun message de moi : à l'âge que j'ai cela pourrait étymologiquement s'appeler un signe de vie. Si votre coeur s'est arrêté uin quart de seconde en pensant à l'arrêt bien plus durable du mien, j'en suis confuse car je me portais hier comme un charme - "Encore vingt ans comme ça, dit mon médecin, et on verra alors s'il faut vous changer de régime". (j'espère ne pas trop ressasser :  cette réplique médicale m'a plu au point que je l'ai déjà éparpillée ici et là - pardon si mon blog s'est déjà fait auprès de vous l'écho de ma belle humeur). Tout allait bien hier au contraire, et je n'ai pas compris pourquoi Google faisait la sourde oreille au moment d'accueillir mon délicieux gazouillis pour le porter vetrs vous. Ou est-ce cette administration invisible qui veille de près sur mes titres ou la matière de mes petits entretiens qui a manifesté sa désapprobation en me répétant à jet continu : "Hum, je crains bien de ne pas connaître votre destination!". Une fois ou deux, passe! On se dit : "Tiens! ce matin la machine a un petit air réjoui, c'est toujours bon à prendre au passage". Et puis,  de guerre lasse, je me résigne à faire comme si je vous fraudais d'une prestation ... Avec deux blogs  aujourd'hui à vous offerts, mes agneaux, même si la substance n'est que bulles de savon,  vous auriez tort de vous plaindre, vu qu'on semble repartis dans les canicules et qu'en conséquence les rendements ont tendance à baisser.

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6 octobre 2018 6 06 /10 /octobre /2018 09:21

          N'en avons-nous pas connu, de ces petits chefs qui par calculs et gymnastique pratiqués dans l'ombre, ou tout aussi bien par un grand coup de gueule qui, s'il se trouve en conjonction avec l'Histoire, élève son bonhomme du pot de peinture au pouvoir suprême berlinois; sont passés de l'obscurité la plus banale au podium le mieux éclairé du monde ! Quand on se penche sur leur biographie à partir de leur portrait entouré de drapeaux, on peut retracer tous les éléments de leur périple, qui fut parfois une ascension pénible sur les genoux et parfois aussi une propulsion d'un  jet sur un tapis volant! Mais les biographes savent détecter en général les petits signes de rien du tout qui auraient pu laisser présager cette ascension, lesquels n'apparaissent qu'une fois dûment extraits et analysés et paraissent alors indiscutables. Rétrospectivement, c'est assez amusant de reconstituer leur carrière de profundis ad caelum : tant qu'on ne possède pas ces éléments explicatifs du passé, on peut avoir tendance à considérer les parvenus au plus haut des cieux comme des émanations divines ou à tout le moins comme des phénomènes venus nous enseigner leur magie et leur maîtrise à réglementer la marche de la machine. On peut donc se poser la question à propos d'un  obscur membre d'une petite formation débutante qui fut choisi pour son honnêteté et sa rigueur, rien d'autre. Mais voilà qu'il a travaillé pour s'améliorer, que les coups de malchance de son supérieur lui ont été autant de coups de pied bien où il fallait. Au royaume des aveugles, les borgnes n'ont guère de mal à passer pour d'infaillibles guides, il suffit seulement qu'ils sachent les pousser au fossé au bon moment. Ne voilà-t-il pas que nous héritons d'un aigle à deux têtes, qui d'une seule main régit son commerce et celui laissé vacant, et qui, mes belins-belines, fait montre de déployer des capacités de commandant de bord que nul n'avait dépistées? Voilà où nous en sommes, mes agneaux. Gardons bien nos gilets de sauvetage.                                                                                 

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4 octobre 2018 4 04 /10 /octobre /2018 11:25

          J'ai assisté au départ de Papy Mougeot : piaffant  d'impatience, on l'avait laissé, le pauvre, attendre debout entre deux portes et consultant en vain sa montre un grand nombre de fois. J'ai vu aussi son arrivée sur le plancher lyonnais, cette fois-ci avec tambours et trompettes, les fidèles venus en masse autour de lui pour lui servir de gardes du corps sans l'intermédiaire Benalla. Il a dû avoir chaud au coeur à ce moment, en tâchant d'oublier l'attitude roide du Premier ministre qui, figé à deux  mètress de lui et les bras croisés, a eu le chic pour te vous tourner un petit compliment glacial. Papy Mougeot avait de son côté essayé de faire ses adieux comme Valls les avait faits à l'Assemblée, mais il n'a pas eu de standing ovation, ce qu'il n'avait pas l'air de regretter, tout pressé qu'il était de retrouver les siens. A propos de départs, ledit Valls se mord peut-être déjà les doigts d'avoir annoncé son retour à l'Espagne : lui qui a toujours cherché un escabeau pour grimper d'un cran, il aurait pu avoir ces jours-ci l'occasion de rebondir au niveau supérieur. Tant pis, Manuel! C'est dans ton destin  de ne pas savoir ^profiter des bonnes occases. Quant au Premier ministre, on ne s'étonne plus qu'il lui ait fait tan,t de compliments chaleureux : le voir quitter le terrain correspondait pour lui à un grand soulagement. C'est qu'on l'a vu au cours des vents et marées s'imposer comme un Monsieur JE qui s'est emparé de la barre, il pilote des deux mains depuis quelques jours avec une autorité enfin affirmée. Et s'il se mettait à prendre les rênes en mains pour s'emparer du char de l'Etat? Tout est possible,  mes belins-belines,; tout est possible je vous dis...

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3 octobre 2018 3 03 /10 /octobre /2018 17:36

          Vous avez certainement vu (ou, si vous êtes de mes proches ou de mon goût, vous avez soigneusement évité de voir) un film base qui fait tordre les Américains et dont plusieurs répliques ou remakes ont déjà été tournées, car quand on a trouvé un filon qui donne on n'a aucune raison d'interrompre les fouilles (vous savez tous ce qui est arrivé aux "Dents de la Mer", qui ont connu des suites et suites de suites jusqu'à vous dégoûter du requin). Le titre est aussi poétique qu'hilarant et pose d'emblée les données du problème : "Y a-t-il un pilote dans l'avion?" Il est temps de poser la question lorsqu'on s'aperçoit que l'appareil a été mis sur pilotage automatique (certes, ça va bien un moment, mais tout de même...) et que le pilote n'est plus dans sa cabine de pilotage. Rien à faire d'autre que le chercher sous tous les sièges, car sans sa compétence et son attention le vol ne pourra pas continuer très longtemps malgré les merveilleuses prouesses de l'informatique. J'ai entendu hier une savante variante à cette formule-type : "Y a-t-il un commandant sur le paquebot?" - et franchement il ne s'agissait pas d'une déclinaison de vocables concernant les moyens de locomotion nautique ou aérienne (le bâtiment,  la frégate, le rafiot, le transatlantique, le vaisseau, le navire, le bateau,  la corvette etc.), ce qui à d'autres moments eût pu donner des idées de vacances, mais bien plus gravement de l'incidence d'une tête pensante et agissante pour faire avancer la machine. Et le plus rigolo dans l'affaire, c'était que tous les assistants à qui la question était posée se la posaient pareillement et ne savaient absolument pas où chercher la réponse.

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2 octobre 2018 2 02 /10 /octobre /2018 19:14

          Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais si vous ouvrez un journal, on vçous parle du chômage, si vous ouvrez la radio on vous parle du chômage, si   vous vous en remettez à la télé on vous parle de chômage. A croire vraiment que c'est un élément essentiel de notre société d'aujourd'hui, ma parole! Ils sont paraît-il toujours plus nombreux, ces chômeurs, comme si c'était une mode. Est-ce qu'ils ont vraiment compris la gêne qu'ils apportent dans le quotidien national? On leur supprime des choses, une par ci, une par là, mais c'est tout simplement qu'ils ont des choses à supprimer ! Ils protestent contre les mesures qu'on prend à leur égard, mais ils ont la belle vie! Le reste de la population travaille, eux peuvent rester au lit jusqu'à des point d'heure, ils peuvent projeter leurs sorties sans se confiner au week-end, comme le reste de l'Hexagone est bien obligé de faire. C'est que ça finit par irriter le bon peuple, ça! Ils n'ont que des attitudes négatives, ils refusent tout ce qui pourrait faire avancer la machine, c'est quand même malheureux que le bel élan de l'Hexagone se trouve contrarié par leur mauvaise volonté. Ils refusent d'y mettre du leur, c'est évident. Moins il y en aurait, mieux la France se porterait, c'est pourtant simple et logique! On se demande même pourquoi ils s'entêtent à rester dans cette situation.  Un bon mouvement de leur part ne serait tout de même pas la mer à boire ! Ohé les chômeurs ! Prenez un peu conscience de la gêne que vous imposez au président

pour gouverner, tâchez de faire un peu profil bas un moment, que les choses puissent tranquillement se remettre en ordre et que vous cessiez d'être toujours à la Une de tous les médias!

 

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2 octobre 2018 2 02 /10 /octobre /2018 19:06

          Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais si vous ouvrez un journal, on vçous parle du chômage, si vous ouvrez la radio on vous parle du chômage, si   vous vous en remettez à la télé on vous parle de chômage. A croire vraiment que c'est un élément essentiel de notre société d'aujourd'hui, ma parole! Ils sont paraît-il toujours plus nombreux, ces chômeurs, comme si c'était une mode. Est-ce qu'ils ont vraiment compris la gêne qu'ils apportent dans le quotidien national? On leur supprime des choses, une par ci, une par là, mais c'est tout simplement qu'ils ont des choses à supprimer ! Ils protestent contre les mesures qu'on prend à leur égard, mais ils ont la belle vie! Le reste de la population travaille, eux peuvent rester au lit jusqu'à des point d'heure, ils peuvent projeter leurs sorties sans se confiner au week-end, comme le reste de l'Hexagone est bien obligé de faire. C'est que ça finit par irriter le bon peuple, ça! Ils n'ont que des attitudes négatives, ils refusent tout ce qui pourrait faire avancer la machine, c'est quand même malheureux que le bel élan de l'Hexagone se trouve contrarié par leur mauvaise volonté. Ils refusent d'y mettre du leur, c'est évident. Moins il y en aurait, mieux la France se porterait, c'est pourtant simple et logique! On se demande même pourquoi ils s'entêtent à rester dans cette situation.  Un bon mouvement de leur part ne serait tout de même pas la mer à boire ! Ohé les chôeurs ! Prenez un peu conscience de la gêne que vous imposez au président our gouverner, tâchez de faire un peu profil bas un moment, que les choses puissent tranquillement se remettre en ordre et que vous cessiez d'être toujours à la Une de tous les médias!

 

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1 octobre 2018 1 01 /10 /octobre /2018 09:53

          J'ai été effarée d'apprendre (j'en avais déjà entendu parler mais en toute honnêteté j'avais cru qu'il s'agissait d'une blague) que certains enseignants américains pour le français de haut niveau ont délibérément supprimé le passé simple de leurs programmes. Gros prétexte brandi : c'est un temps de verbe désormais inusité. Donc, comme Time is business, ne perdons pas notre temps à pratiquer des inutilités grammaticales, surtout que ce sacré passé simple est compliqué en diable à dominer : il aima, il plut, je compris, il s'avança, ils décidèrent, nous fermâmes... Je ne vais certes pas prétendre que tout le monde l'utilise encore chez nous, sauf sans y penser, dans certaines expressions consacrées (fut un temps, fut dit fut fait), le reste du temps le passé composé prend sa place, tout simplement : Il a aimé, il a plu, j'ai compris, il s'est avancé, ils ont décidé, nous avons fermé...Et certes encore le passé simple est pesant, compassé, sans grâce le plus souvent, surtout employé à des personnes du pluriel dont les terminaisons sonnent ridiculement (vous écrivîtes, nous lûmes) - même que, à certains égards, on pourrait presque donner raison à ces rectificateurs de nos conjugaisons. Pourtant, les conteuses du coin du feu bien de chez nous qui reprennent la fonction magique d'autrefois continuent d'employer ce temps sublime du récit passé, et même si on ne peut les mettre officiellement sur le même plan que les auteurs contemporains abonnés au présent de l'indicatif,  c'est bien dommage ! Quant aux étudiants américains, je les imagine devant des textes de Balzac, de Flaubert, de Zola, de Maupassant... Je sais bien que leur vie matérielle ne leur réserve pas le moindre îlôt de littérature étrangère, surtout du XIXème, mais tout de même, à côté de quelles beautés corsetées à l'ancienne ne passeront-ils pas sans retour...

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29 septembre 2018 6 29 /09 /septembre /2018 08:08

          Il n'y a plus de beau fixe pour l'existence du livre. Les librairies ferment les unes après les autres, et les libraires découragés par la conjoncture culturelle ne prennent même plus la peine, le plus souvent, de guider les lectures de leurs clientes en suggérant tel ou tel titre qui restera dans les mémoires. La chaîne du livre, sur laquelle on s'est penché officiellement avec une certaine tendresse pendant une ou deux décennies (sans vraiment trouver les remèdes à cette situation inquiétante), s'est trouvée rompue pr la disparition d'un de ses maillons les plus indispensables : le contact ultime avec le consommateur (ce terme affreux de gloutonnerie s'applique hélas au livre puisque commercialement il n'est qu'un produit).  En particulier (et je passe sur tous les métiers intermédiaires chargés de la confection matérielle, imprimeurs, fabricants de papier, illustrateurs, relieurs) les éditeurs sont atteints dans leur existence même. Si l'on arrête leur activité commerciale devenue non rentable, on arrête l'essentiel de leur raison d'être, le contact avec les auteurs qui leur soumettent leurs manuscrits dans l'espoir d'être publiés par la maison d'éditions qu'ils ont choisie. Les manuscrits restent dans les tiroirs, les auteurs cherchcnt avec désespoir quelqu'un de compréhensif qui voudrait les aider à donner la vie à l'histoire en fin de gestation qui a besoin d'un accoucheur pour pouvoir respirer à l'air libre... C'est bien possible que l'impression en numérique à la demande fonctionne gaillardement,; puisque les échanges et commérages sur le net ont remplacé les conversations à l'ancienne... Dans quelle mesure la vocation du livre - à savoir l'enchantement magique  né de la lecture et enveloppant le lec teur dans ses plis bienheureux - sera-t-elle conservée, page après page, grâce que contact papier par lequel passent mystérieusement toutes les émotions?

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28 septembre 2018 5 28 /09 /septembre /2018 09:37

          Le problème soulevé par la rigueur de régime des véganiens dépasse d'ailleurs la simple destruction des étals de bouchers ou de charcutiers. Il est normal, il est sain, qu'on souhaite voir se terminer le calvaire des bêtes d'abattoir (c'est le terme officiel, comme celui de dinde de boucherie qui fait frissonner) - un abattage impitoyable qui conclut des mois et des années d'engraissement aux hormones dans les fermes modèles de l'agro-alimentaire (avec les mouroirs  des mille vaches, des deux mille veaux et le cortège des scarifications blessures tortures brutalités inutiles dont s'agrémentent aux mains de leurs bourreaux les existences des malheureuses victimes de populations fidèles à leurs habitudes catrnivores). Mais l'objectif - en tout cas le mien,  celui des végétariens qui ont le coeur tendre et reconnaissent aux animaux le droit de ne pas être automatiquement considérés comme proies pour les appétits les plus vils de l'homme - n'est pas de rayer de ma vie la proximité animale. Les oeufs des poules élevées au sol ne leur coûtent  que la ponte et non l'effroyable univers concentrationnaire des batteries; il n'y a qu'à les entendre quand elles viennent de vous offrir un oeuf!  Quant aux vaches et aux chèvres, elles ont besoin qu'on les traie, elles aussi offrent leur lait - n'est-ce pas là, me direz-vous, le beau raisonnement spécieux des campagnards anglais puritains de l'ancien temps pour lesquels faire la moindre action le dimanche leur ouvrait les portes de l'enfer, mais qui ne manquaient jamais de traire leurs vaches parce que c'était "un acte de charité et de compassion"'? Je ne crois pas en être arrivée à chercher des justifications à ma ferme conviction qu'on pourrait manger des oeufs, boire du lait et déguster du fromage sans faire souffrir la gent animale . Certes il faut surveiller les provenances, multiplier les garanties... Moyennant quoi on peut encore, à mon avis, manger des oeufs, du fromage et boire du lait sans le remords d'avoir fait couler le sang des bêtes.

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27 septembre 2018 4 27 /09 /septembre /2018 08:37

          Car c'est  un fait : voilà les végétaliens et les véganiens (je crois qu'on dit aussi végans) qui se regroupent dans la rue, qui manifestent devant les vitrines des bouchers (les ont cassées aussi hier me semble-t-il) , qui refusent aux bouchers le titre de professionnels et les traitent officiellement d'assassins (il est bien vrai que tout boucher reste proche des abattoirs, y participe, y évolue, et donc est témoin de ce qui s'y passe d'effroyable après y avoir sans doute participé pendant son apprentissage). Le cochon mort tendrement serré sur le coeur d'une manifestante m'est apparu comme déplacé, même si je comprenais le chagrin de la dame et le courage de cette ruée contre la viande. Qu'on n'attende pas de moi une adhésion totale et entière ; les excès auxquels les a poussés leur passion pour la cause animale vont dresser contre eux une partie du public qui se trouvait  hésitante. De quel droit empêcher les autres de manger de la viande s'ils le veulent? Se droguer me semble infiniment plus condamnable et j'applaudirais de  tout mon coeur des manifestants qui mettraient le feu aux laboratoires où  des criminels patentés préparent le poison des adolescents et de notre jeunesse. Ces commandos maladroits bien que nés d'une ardeur fort louable me rappellent, aux temps où se constituaient les Etats Unis dans les plaines de l'Ouest, les actions violentes des femmes de pionniers dont les hommes ne dessoûlaient guère : avec des hachettes ou des sacs bourrés de cailloux, elles venaient fracasser les tonneaux de bière ou les boutiques où se vendait de l'alcool. A la fois intrépides, héroïques et grotesques, elles restent dans la mémoire des Américains grâce aux petits morceaux de sucre à leur effigie dont le papier raconte en une phrase ou deux leur  histoire et leurs faits d'armes. Pathétiques dans leurs excès, tragiques et grotesques... Je crois qu'elles ont trouvé des consoeurs à Paris ces derniers jours...Et les boucheries hallal ont-elles été épargnées de cette campagne d'assainissement? Ce serait un comble, quand on sait ce qui se passe lorsque les boeufs ou les moutons sont sacrifiés par les bouchers juifs ou arabes.

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