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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 12:57

            On m’a offert, il y a quelques années, un ravissant petit livre en anglais intitulé «The Thoughts of Chairman Miaow » (Pensées  du président Miaow) constitué d’une série des principales affiches qui sur tous les murs chinois éternisaient les aphorismes  du timonier de l’époque en remplaçant les consignes et mots d’ordre du cru par des revendications félines : exigence de bonnes croquettes, expressions de vengeance contre la tribu des chiens, fidélité à une bonne marque etc. A la place du chef vénéré, au-dessus de son petit col droit qui a lancé la mode dans le monde, une superbe tête de matou, yeux étincelants, moustaches conquérantes, auréole de longs  poils lustrés vers lesquels on se sent irrésistiblement tenté de tendre la main (mais attention ! la fougue et l’ascétisme du regard vous en dissuadent d’emblée). La transposition des personnages, des slogans, des mouvements de foule, de l’enthousiasme est parfaitement réussie : Vive Miaow ! ne peut –on se retenir de crier comme on l’aurait fait là-bas, quand on n’avait pas le droit de crier autre chose.  Voilà qu’on a un peu abandonné ce contexte : d’abord il y a eu des successeurs, peu à peu ça vous efface une image, ça ; ensuite, même si la Chine reste bien le bulldozer du premier plan de nos préoccupations économiques, elle ne symbolise pas une plaie envenimée qui s’ulcère parce qu’on la gratte exprès. Plus près de nous (car le Moyen Orient c’est bien plus près de nous, on a les yeux fixés là à chaque minute) il y a un chef  proTrump qui secrète son propre venin à force de vouloir d’un seul regard de basilic anéantir le voisin de la porte à côté. Eh ! oui, c’est notre cousin presque frère, diraient les Hollandais, il se nourrit de haine et de violence, avec du mensonge et de l’hypocrisie pour assaisonner, et de voir qu’on l’appelait lui aussi Neta Miaow cela m’a rappelé les pensées de l’autre. Avec une grande occasion d’indignation : comment envisager de remplacer cette tête de tsar de toutes les ignominies par une superbe tête de matou qu’on n’aurait qu’une envie, celle de la caresser ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

            On m’a offert, il y a quelques années, un ravissant petit livre en anglais intitulé «The Thoughts of Chairman Miaow » (Pensées  du président Miaow) constitué d’une série des principales affiches qui sur tous les murs chinois éternisaient les aphorismes  du timonier de l’époque en remplaçant les consignes et mots d’ordre du cru par des revendications félines : exigence de bonnes croquettes, expressions de vengeance contre la tribu des chiens, fidélité à une bonne marque etc. A la place du chef vénéré, au-dessus de son petit col droit qui a lancé la mode dans le monde, une superbe tête de matou, yeux étincelants, moustaches conquérantes, auréole de longs  poils lustrés vers lesquels on se sent irrésistiblement tenté de tendre la main (mais attention ! la fougue et l’ascétisme du regard vous en dissuadent d’emblée). La transposition des personnages, des slogans, des mouvements de foule, de l’enthousiasme est parfaitement réussie : Vive Miaow ! ne peut –on se retenir de crier comme on l’aurait fait là-bas, quand on n’avait pas le droit de crier autre chose.  Voilà qu’on a un peu abandonné ce contexte : d’abord il y a eu des successeurs, peu à peu ça vous efface une image, ça ; ensuite, même si la Chine reste bien le bulldozer du premier plan de nos préoccupations économiques, elle ne symbolise pas une plaie envenimée qui s’ulcère parce qu’on la gratte exprès. Plus près de nous (car le Moyen Orient c’est bien plus près de nous, on a les yeux fixés là à chaque minute) il y a un chef  proTrump qui secrète son propre venin à force de vouloir d’un seul regard de basilic anéantir le voisin de la porte à côté. Eh ! oui, c’est notre cousin presque frère, diraient les Hollandais, il se nourrit de haine et de violence, avec du mensonge et de l’hypocrisie pour assaisonner, et de voir qu’on l’appelait lui aussi Neta Miaow cela m’a rappelé les pensées de l’autre. Avec une grande occasion d’indignation : comment envisager de remplacer cette tête de tsar de toutes les ignominies par une superbe tête de matou qu’on n’aurait qu’une envie, celle de la caresser ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

            On m’a offert, il y a quelques années, un ravissant petit livre en anglais intitulé «The Thoughts of Chairman Miaow » (Pensées  du président Miaow) constitué d’une série des principales affiches qui sur tous les murs chinois éternisaient les aphorismes  du timonier de l’époque en remplaçant les consignes et mots d’ordre du cru par des revendications félines : exigence de bonnes croquettes, expressions de vengeance contre la tribu des chiens, fidélité à une bonne marque etc. A la place du chef vénéré, au-dessus de son petit col droit qui a lancé la mode dans le monde, une superbe tête de matou, yeux étincelants, moustaches conquérantes, auréole de longs  poils lustrés vers lesquels on se sent irrésistiblement tenté de tendre la main (mais attention ! la fougue et l’ascétisme du regard vous en dissuadent d’emblée). La transposition des personnages, des slogans, des mouvements de foule, de l’enthousiasme est parfaitement réussie : Vive Miaow ! ne peut –on se retenir de crier comme on l’aurait fait là-bas, quand on n’avait pas le droit de crier autre chose.  Voilà qu’on a un peu abandonné ce contexte : d’abord il y a eu des successeurs, peu à peu ça vous efface une image, ça ; ensuite, même si la Chine reste bien le bulldozer du premier plan de nos préoccupations économiques, elle ne symbolise pas une plaie envenimée qui s’ulcère parce qu’on la gratte exprès. Plus près de nous (car le Moyen Orient c’est bien plus près de nous, on a les yeux fixés là à chaque minute) il y a un chef  proTrump qui secrète son propre venin à force de vouloir d’un seul regard de basilic anéantir le voisin de la porte à côté. Eh ! oui, c’est notre cousin presque frère, diraient les Hollandais, il se nourrit de haine et de violence, avec du mensonge et de l’hypocrisie pour assaisonner, et de voir qu’on l’appelait lui aussi Neta Miaow cela m’a rappelé les pensées de l’autre. Avec une grande occasion d’indignation : comment envisager de remplacer cette tête de tsar de toutes les ignominies par une superbe tête de matou qu’on n’aurait qu’une envie, celle de la caresser ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

            On m’a offert, il y a quelques années, un ravissant petit livre en anglais intitulé «The Thoughts of Chairman Miaow » (Pensées  du président Miaow) constitué d’une série des principales affiches qui sur tous les murs chinois éternisaient les aphorismes  du timonier de l’époque en remplaçant les consignes et mots d’ordre du cru par des revendications félines : exigence de bonnes croquettes, expressions de vengeance contre la tribu des chiens, fidélité à une bonne marque etc. A la place du chef vénéré, au-dessus de son petit col droit qui a lancé la mode dans le monde, une superbe tête de matou, yeux étincelants, moustaches conquérantes, auréole de longs  poils lustrés vers lesquels on se sent irrésistiblement tenté de tendre la main (mais attention ! la fougue et l’ascétisme du regard vous en dissuadent d’emblée). La transposition des personnages, des slogans, des mouvements de foule, de l’enthousiasme est parfaitement réussie : Vive Miaow ! ne peut –on se retenir de crier comme on l’aurait fait là-bas, quand on n’avait pas le droit de crier autre chose.  Voilà qu’on a un peu abandonné ce contexte : d’abord il y a eu des successeurs, peu à peu ça vous efface une image, ça ; ensuite, même si la Chine reste bien le bulldozer du premier plan de nos préoccupations économiques, elle ne symbolise pas une plaie envenimée qui s’ulcère parce qu’on la gratte exprès. Plus près de nous (car le Moyen Orient c’est bien plus près de nous, on a les yeux fixés là à chaque minute) il y a un chef  proTrump qui secrète son propre venin à force de vouloir d’un seul regard de basilic anéantir le voisin de la porte à côté. Eh ! oui, c’est notre cousin presque frère, diraient les Hollandais, il se nourrit de haine et de violence, avec du mensonge et de l’hypocrisie pour assaisonner, et de voir qu’on l’appelait lui aussi Neta Miaow cela m’a rappelé les pensées de l’autre. Avec une grande occasion d’indignation : comment envisager de remplacer cette tête de tsar de toutes les ignominies par une superbe tête de matou qu’on n’aurait qu’une envie, celle de la caresser ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

            On m’a offert, il y a quelques années, un ravissant petit livre en anglais intitulé «The Thoughts of Chairman Miaow » (Pensées  du président Miaow) constitué d’une série des principales affiches qui sur tous les murs chinois éternisaient les aphorismes  du timonier de l’époque en remplaçant les consignes et mots d’ordre du cru par des revendications félines : exigence de bonnes croquettes, expressions de vengeance contre la tribu des chiens, fidélité à une bonne marque etc. A la place du chef vénéré, au-dessus de son petit col droit qui a lancé la mode dans le monde, une superbe tête de matou, yeux étincelants, moustaches conquérantes, auréole de longs  poils lustrés vers lesquels on se sent irrésistiblement tenté de tendre la main (mais attention ! la fougue et l’ascétisme du regard vous en dissuadent d’emblée). La transposition des personnages, des slogans, des mouvements de foule, de l’enthousiasme est parfaitement réussie : Vive Miaow ! ne peut –on se retenir de crier comme on l’aurait fait là-bas, quand on n’avait pas le droit de crier autre chose.  Voilà qu’on a un peu abandonné ce contexte : d’abord il y a eu des successeurs, peu à peu ça vous efface une image, ça ; ensuite, même si la Chine reste bien le bulldozer du premier plan de nos préoccupations économiques, elle ne symbolise pas une plaie envenimée qui s’ulcère parce qu’on la gratte exprès. Plus près de nous (car le Moyen Orient c’est bien plus près de nous, on a les yeux fixés là à chaque minute) il y a un chef  proTrump qui secrète son propre venin à force de vouloir d’un seul regard de basilic anéantir le voisin de la porte à côté. Eh ! oui, c’est notre cousin presque frère, diraient les Hollandais, il se nourrit de haine et de violence, avec du mensonge et de l’hypocrisie pour assaisonner, et de voir qu’on l’appelait lui aussi Neta Miaow cela m’a rappelé les pensées de l’autre. Avec une grande occasion d’indignation : comment envisager de remplacer cette tête de tsar de toutes les ignominies par une superbe tête de matou qu’on n’aurait qu’une envie, celle de la caresser ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

            On m’a offert, il y a quelques années, un ravissant petit livre en anglais intitulé «The Thoughts of Chairman Miaow » (Pensées  du président Miaow) constitué d’une série des principales affiches qui sur tous les murs chinois éternisaient les aphorismes  du timonier de l’époque en remplaçant les consignes et mots d’ordre du cru par des revendications félines : exigence de bonnes croquettes, expressions de vengeance contre la tribu des chiens, fidélité à une bonne marque etc. A la place du chef vénéré, au-dessus de son petit col droit qui a lancé la mode dans le monde, une superbe tête de matou, yeux étincelants, moustaches conquérantes, auréole de longs  poils lustrés vers lesquels on se sent irrésistiblement tenté de tendre la main (mais attention ! la fougue et l’ascétisme du regard vous en dissuadent d’emblée). La transposition des personnages, des slogans, des mouvements de foule, de l’enthousiasme est parfaitement réussie : Vive Miaow ! ne peut –on se retenir de crier comme on l’aurait fait là-bas, quand on n’avait pas le droit de crier autre chose.  Voilà qu’on a un peu abandonné ce contexte : d’abord il y a eu des successeurs, peu à peu ça vous efface une image, ça ; ensuite, même si la Chine reste bien le bulldozer du premier plan de nos préoccupations économiques, elle ne symbolise pas une plaie envenimée qui s’ulcère parce qu’on la gratte exprès. Plus près de nous (car le Moyen Orient c’est bien plus près de nous, on a les yeux fixés là à chaque minute) il y a un chef  proTrump qui secrète son propre venin à force de vouloir d’un seul regard de basilic anéantir le voisin de la porte à côté. Eh ! oui, c’est notre cousin presque frère, diraient les Hollandais, il se nourrit de haine et de violence, avec du mensonge et de l’hypocrisie pour assaisonner, et de voir qu’on l’appelait lui aussi Neta Miaow cela m’a rappelé les pensées de l’autre. Avec une grande occasion d’indignation : comment envisager de remplacer cette tête de tsar de toutes les ignominies par une superbe tête de matou qu’on n’aurait qu’une envie, celle de la caresser ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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