Entendons-nous bien ! Vous savez avec quel soin, quel scrupule, je corrige les fautes de frappe ou – honte à moi ! – d’étourderie qui déparent mes textes (j’en ai même aperçu une, une vilaine, dans des textes trop éloignés dans le temps pour mériter correction, mais cela me pèse, cela me pèse… Qu’avez-vous pensé, les uns ou les autres, si vous l’avez découverte en son temps sans que je pensasse (oui, pensasse) à faire mon Mea Culpa ?). Or, si au royaume des chiffres et de la mathématique je suis moins tâtillonne, je ne peux laisser passer des erreurs lorsqu’elles passent à ma portée – et celle d’hier est encore toute fraîche. J’ai aimablement disserté sur le grand incendie de Londres en 1666, sous prétexte que la numérotation de mon blog m’en donnait l’occasion. Mais j’ai fait une erreur de calcul, mes belins-belines ! (ce qui ne m’étonne guère de moi, mais ne fait tout de même guère joli joli dans le tableau). Hier nous atteignions le N°1667, le 1666 était celui de la veille, celui qui m’était resté dans la mémoire comme beau sujet pour rafraîchir la vôtre sur les grands événements historiques d’Europe. Hâtons-nous d’y englober l’Angleterre : en ces temps troublés de séparation division éclatement rébellion guerre intestine, elle va sans doute se retirer de tout partenariat avec la grande boiteuse qui claudiquera sans elle tout bientôt. Oui, dépêchons-nous !...
